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| Il haussa les épaules et il partit à son tout en laissant la cathédrale en piteux état. Elle est totalement farfelu … aller ..on va se trouver un trou pour la journée il se dirigea vers la forêt ( le lac plus ) |
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| Elle resta quelques instants silencieuse, réfléchissant à ce qu'elle pensait être le mieux. Elle répondit : "Partons chacun de notre côté, je sais que ce n'est pas la dernière fois que l'on se voit. Et je ne me sentirais pas de taille à affronter la colère d'un prêtre. Si tu n'y vois pas d'incovénient, je vais à présent m'éclipser. Tchao !" Elle n'attendit pas sagement sa réponse et s'en fut, rapidement pour une blessée, les bruits de ses talons résonnant longuement dans la cathédrale. Elle s'arrêta aux portes, se retourna une dernière fois vers Kiudaj, et partie. La jeune femme disparut sous la pluie. |
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| Il rentra silencieusement il passa près d’elle en lui frôlant le bras d’une de ses main, et en la mouillant un peu au passage, il prit son manteau et l’enfila il s’accota sur une colonne …sans vouloir te presser …le soleil se lève bientôt … alors que veux tu faire ? On reste et on assume … on s’en va chacun de notre coté … Ou tu as autre chose a proposer …. |
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| Elle se contenta du vide pour réponse. Elle se rendit compte qu'elle avait le manteau de Kiudaj sur les jambes... Elle l'enleva et le posa sur le dossier du banc. Elle s'assit correctement, toujours en silence, bien qu'elle souffrait beaucoup. Elle se força à se lever et se mit dans un assez grand espace pour entreprendre de faire "rentrer" ses ailes. D'abord, les ailes devaient s'allonger un peu, de sorte à rouvrire la blessure, et ensuite elles revenaient douloureusement dans le corps de la jeune femme. Les faires dispraître faisait mal, mais beaucoup moins que de les faire apparaître. Elle resta un instant dans le noir, hésitant entre partir ou rester, et comme d'habitude, elle ne savait pas choisir, et resta donc sans bouger, à attendre que le temps s'écoule. Mais elle savait qu'elle ne pourrait pas rester trop longtemps à a cause du prêtre... |
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| Pensant qu’elle dormait il se leva silencieusement et alla prendre un peu d’air frai, il pleuvait toujours des cordes mais cela n’allait que lui faire du bien. Il finit par s’asseoir dans les escaliers de la cathédrale, la flaque d’eau qui l’entourait devin rougeâtre, il tordit ton chandail et il leva la tête vers le ciel qui grondait toujours . il resta ainsi un long moment sans bouger |
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| Elle commençait à ressentir un peu plus ce qui l'entourait, et elle sentie (enfin) également le sang qui la maculait. Son sang, mais aussi celui de Kiudaj. Elle se sentie alors affreusement mal. "Pourquoi as-tu pris des risques pour moi alors que mon devoir était de te tuer ?" Elle se rappella alors sa longue hésitation, en entrant dans la cathédrale... |
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| Le prêtre va rentré il va être apeurer Il va prévenir les gardes, ils vont venir Nous ne serons plus la car ils auront prit trop de temps Ou bien ils vont nous avoir et nous tuer sur la place publique il soupira et dit sur un tout autre ton Peu importe, demain …c’est demain …nous ne serons peut-être même plus ici |
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| Elle voulait juste dormir maintenant, juste dormir... Sombrée dans un profond sommeil... Un véritable trou noir, et si possible, ne pas se réveiller tout de suite. Elle était complètement over. Elle chassa vite ces pensées de son esprit, en tant que guerrière, elle ne pouvait pas songer à se reposer. "Qu'en seras-t-il de demain ?" Demanda-t-elle faiblement en faisant autant allusion à eux qu'à la cathédrale un peu délabrée. |
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| Il fut surprit de son geste et il la fixa un long moment voyant qu’elle était autant surprise que lui, il ne voulu pas la ‘’brusquer’’ alors il s’approchât d’elle et déposa un baiser sur son front il se releva s’éloigna un peu et se laissa tomber lourdement sur un banc de la même rangée. Il fermait les yeux et un petit sourire apparu sur son visage suivit d’un petit rire Hum hum hum …. Il soupira et pencha sa tête par en arrière et passa ses 2 mains dans ses cheveux |
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| Elle fit une chose à laquelle elle ne s'attendait pas vraiment mais qui lui fit beaucoup de bien. Elle le prit dans ses bras et le serra contre elle en pleurant doucement. Elle passait ses doigts dans ses cheveux en repessant aux moments ou elle avait presque abatut son katana sur sa tête. Elle était désolé et horrifiée de le prendre ainsi dans ses bras. Elle voulait que tout s'arrête, que leur blessures ne les fasset plus souffrir et qu'il n'y ai plus de guerre. Mais à l'instant ou elle pensait cela, elle rouvrit les yeux et l'écarta d'elle en se crispant de douleur. Elle ne comprenait aucun de ses propres gestes. Elle voulait l'embrasser et le tuer. Elle l'aimait et le haissait. Comme elle était paralysé de ce choix à faire, elle ne fit rien. |
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