| | Alexiel | | ... |  | | 21 messages postés |
|  Posté le 14-02-2007 à 12:10:56   
| Le bureau d'Alexiel était une vaste pièce en chêne, composée d'une table imposante, et d'une bibliothèque garnie de livres sur les différents soins à administrer dans toutes les situations possibles imaginables.
Une porte située au fond menait directement à l'infiermerie, petite salle blanche munie des étagères avec les différentes planes dont la jeune femme avait besoin pour soigner la maladie et les blessures de son maitre, ainsi que de trois lits blancs immaculés lui servant à soigner les blessés de guerre qui pouvaient parfois revenir au chateau.
Assise sur l'un des lits, en soutien gorge, elle appliquait une crème sur les étatomes qui ornaient son dos, grimçant de douleurs à chaque fois qu'elle els effleurait. Ces blessures remontaient à plus de 15 ans et purtant, elle lui faisaient toujours aussi mal. Peut être que c'était une conscéquence psycologique de l'enfance traumatisante qu'elle avait vécu. Toujours était il que ces contusions refusaient de guerrir.
Elle poussa un soupir las et s'allongea lentement sur le lit, dans un gémissement de douleur. Elle se rendait bien compte qu'elle était à bout. La santé de Tetsu s'agravant de jour en jour l'inquiètait au point de l'empêcher de dormir et cette impuissance qui la rongeait si souvent quand elle le voyait souffrir était pire que tout ce sderniers temps. Elle avait beau faire tout ce qui était en son pouvoir, toutes le spersonnes qui l'entouraient détruisaient des semaines d'efforts en l'espace de deux heures, avec une régularité et une appllication hors du commun. Et toutes ces longues heures passés à tenter d'apaiser son maitre, tous ses efforts pour l'aider et le comprendre étaient réduits à néant presque quotidiennement. Elle adorait les moments passés avec Tetsu, ce n'était pas le problème. Elle était prête à passre jours et nuits avec lui. Mais elle ne voyait pas le fruits de ses efforts et toute cette histoire commençait à la déprimer totalement. D'autant plus qu'à cause de ça, elle avait perdu son petit ami, qui n'était certes pas très interessant mais qui avait au moins le mérite de lui faire penser à autre chose, ce qui était un luxe qu' elle aurait bien aimé s epermettre en ces temps difficiles. Et cet home qui était arrivé il y a quelques jours, de quel droit osait il se permettre pour traiter Tetsu avec autant de mépris? Il ne savait rien de lui et le jugeait sans le connaitre. C'était une attitude détestable, presque autant que celle de tous ces chacals assoiffés de pouvoirs qu se disaient ses serviteurs mais qui le rongeaient et le tuaient à petits feux. Etre chef n'était pas une tache facile. Certes, c'était le voeu le plus cher de Tetsu, mais avec sa santé, ce n'était pas une bonne solution. Ca aurait pu l'être, mais encore fallait il qu'il soit maitre d'une armée puissante et fidèle, pas de cette bande d'incapable pas fichus de se débrouiller par eux même.
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Tetsu est le seul présent que la vie m'ait offert. Alors même si il venait à me tuer, je mourrais reconnaissante et mon amour pour lui s'évanouirait dans le ciel, heureux... |
| | Kazunari Tetsu | | Maître des Destructeurs |  | | 21 messages postés |
| Posté le 15-02-2007 à 02:10:16
| Il n’arrivait pas à dormir, il avait fait le tour du manoir avec une chandelle et en passant par la cuisine il s’était servit un vers de lait, malgré qu’il déteste cela. Il avait une mine horrible et la lumière de la chandelle n’aidait pas, le reflet de la lumière lui faisait avoir l’air plus blanc qu’il l’était, son regard était vide et il semblait être ailleurs, il avait un peu l’air d’un somnambule. Comme à son habitude, quand il n’avait rien à faire ou que ça n’allait pas, il alla voir Alexiel. Il entra dans son bureau ne la voyant pas, il allait faire demi-tour quand il prit une chance et entra dans l’infirmerie. Il tira le rideau qui dissimulait Alexiel
-Oh ! Je te trouve, enfin.
Il déposa le vers de laid sur la table de chevait. Il fit le tour du lit et il alla s’asseoir sur celui qui se trouvait tout près. Elle (toi) lui faisait à présent dos, il tomba rapidement dans la lune mais il murmura et c’était à peine audible, tout en fixant une des pattes du lit
Qu’est-ce qui t’arrive ?
Se n’est pas que ça l’intéressait réellement mais il se disait qu’il lui devait bien cette petite attention. Il n’était certes pas la personne à qui on préfère se confier mais cette occasion (avoir de l’écoute) n’allait sûrement pas se reproduire de si tôt
Message édité le 15-02-2007 à 02:38:37 par Kazunari Tetsu
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I’ve got power that equal and surpass the power of God
Renonce à chaque mot, à chaque pensée, à chaque son
Renonce à chaque contact, à chaque sourire, à toute l'espoir
Livre-toi à moi |
| | Alexiel | | ... | | | 21 messages postés |
| Posté le 16-02-2007 à 09:33:01
| Quand elle entendit sa voix, elle sentit une bouffée de chaleur envahir son ame, comme à chaque fois qu'il était près d'elle. Chaque jour depuis dix ans, elle ne cessait de voir en lui l'homme qui l'avait tiré de là et sa voix, si glaciale soit t'elle, était, comme tout le reste de son être, source de bonheur et de quiètude. Et elle lui fut également reconnaissante de s'interesser de son état, même si elle savait pertinemment que ce n'était pas une chose qui le passionait vraiment. Il faisait au moins l'effort de le lui demander, mais Alexiel savait ertinemment qu'elle ne comptait pas lui expliquer en détails les raisons de son tourment. D'une part parce qu'elle ne voulait pas l'énerver, d'autre part parce que jamais au grand jamais elle ne se déciderai à luia vouer ses véritables sentiments.
Elle eut un léger sourire et murmura d'une voix douce.
Mon travail consitse à m'inquèter pour vous. Alors disons que je le prends juste très à coeur. Un peu trop selon l'avis de l'homme qui vient de me plaquer. Mais lui, ce n'est qu'un domage collatèral.
Elle se redressa lentement, dans un nouveau gémissement de douleur et remit sa chemise, avant de se lever pour aller ranger e tube de crème. Elle prépara deux tasses de thé fumante qu'elle posa sur la table de chevet entre le sdeux lits. Elle hésita à enlever le verre de lait, sachant pertinemment que Tstsu détestait le lait, mais elle finit par se dire qu'il ferait comme bon lui semblai. Puis elle s'assit à cotés de lui et lui enleva sa chemise avant de masser ses épaules avec douceur.
Je crois que je ne vous avez jamais vu aussi terne et tendu
Message édité le 16-02-2007 à 10:15:50 par Alexiel
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Tetsu est le seul présent que la vie m'ait offert. Alors même si il venait à me tuer, je mourrais reconnaissante et mon amour pour lui s'évanouirait dans le ciel, heureux... |
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